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Archive for Sights

PELOTERO OPENING JULY 13th!

NEW YORK TIMES CRITIC’S PICK / WASHINGTON POST CRITIC’S PICK
95% FRESH ON ROTTENTOMATOES.COM

THE FILM’S WEBSITE
Download it now on iTunes

Locations: NY Quad , NY Maysles, Boston, Washington DC, San Francisco, Minneapolis, Los Angeles, Houston, Seattle, Lake Worth

THE MANY REVIEWS:

Jonathan Paley, Co-Director

Go, Jon, go!

The Fairy/La Fée

Run to the Plaza Frontenac
Before Friday!
(1:40 4:10) 7:10 9:30
The film’s website
with its US screenings

My short review:
The Fairy/La Fée

As Wallace Stevens has
eloquently bemoaned, “reality is a cliché,” and The College of Pataphysics in France has for years attempted to remedy that particular form of cataclysm. Unbeknownst to most us, they have made very big decisions through such elaborate committees as the Sérénissime Sur-Commission des Provéditeurs Généraux .

Not to despair for movie-goers, a trio of Belgians has arrived at the scene and they seem to be handling the dire situation with much panache.
These directors/actors have triangulated an active zone of delirium around the flat roofs of the Northern French city of Le Havre.

Thanks to them and their escapades across police lines, mental institutions, and oil tanks everything may yet fall into place.
The price may be high for some: to lose control and emit strange vocal sounds while being confronted with Keaton and Tati’s heirs. –>A

An exclusive Landmark interview with Fiona Gordon



Xtras!


And a bio for Abel & Gordon
(en Français) + Wiki sur eux
ET Wiki sur Bruno Romy

Marceline Loridan et sa surVIE

Premier Épisode de Cinq heures d’un Grand Entretien avec Marceline Loridan sur France Inter

Marceline Loridan-Ivens © Radio France - 2012

Et les quatres autres épisodes en Podcast

Ma vie balagan par Marceline Loridan-Ivens

Marceline Loridan-Ivens (née Marceline Rosenberg) naît à Epinal le 19 mai 1928 de parents juifs polonais émigrés en France. Arrêtée avec son père par la Gestapo en 1944, elle est déportée à Auschwitz-Birkenau puis au camp de Theresienstadt, jusqu’à sa libération en mai 1945. Elle livrera une évocation poignante du difficile retour à la vie après le camp dans le film “Chronique d’un été” (1960) de Jean Rouch et Edgar Morin, dont elle est l’un des protagonistes principaux.

Devenue journaliste et réalisatrice à la télévision, elle coréalise avec Jean-Pierre Sergent “Algérie année zéro” (1962), tourné juste après l’indépendance.

En 1963, elle rencontre et épouse le documentariste Joris Ivens avec lequel elle travaillera jusqu’à la mort de ce dernier en 1989. Ensemble, ils réalisent des films sur la guerre du Viêt-Nam, sur le Laos,  une série de six films sur la Chine en pleine révolution culturelle (“Comment Yukong déplaça les montagnes,” 1976) et enfin “Une histoire de vent” en 1989.

En 2003, Marceline Loridan-Ivens écrit et réalise son premier long-métrage de fiction, “La Petite prairie aux bouleaux,” très largement inspiré par sa vie et son expérience des camps.

Elle a publié ses mémoires, “Ma vie balagan,” en 2008.

Undo The Koch Brothers Before They Undo You


Robert Greenwald’s
latest film release:
The Koch Brothers Exposed

The Kid with the Bike – Le Gamin au Vélo

Still Playing in St. Louis
at the Plaza Frontenac
(at least through the first TWO weeks of May!)
En résumé:
Le Gamin au Vélo. De nouveaux magnifiques débats à corps perdus par les frères Dardenne… peut-être qu’on s’y retrouvera malgré tout? Grand Prix Cannes 2011. –> 20/20



The film’s website.

Salim Halali: 1920-2005

Praised by Oum Kalthoum and saved by Si Kaddour Benghabrit who headed the Paris Mosque during WWII.





The war story is the subject of Free Men/Les Hommes Libres, a film by Ismaël Ferroukhi.

Footnote: DNA Methylation, Cancer and the Cedars’ Deep Connection

Prof. Haim/Howard Cedar and his son, Yossef/Joseph Cedar, the filmmaker (by Nir Hasson in Haaretz)
“There’s no connection between the father and the son in ‘Footnote’ and the relationship between us. I think there’s something special in our relationship. Each of us talks to the other about his field, but at a basic level. So basic that what I do connects with what Joseph does. If you’re not thinking about methylization and he’s not thinking about how a character or how the filming will look − in the end there’s a connection. ‘Good’ isn’t the word for it: Ours is a very deep connection.”

Father (Israel/Wolf Prize for biology)


Son (2 Oscar nominated films w. Footnote/best screenplay at Cannes)

Alexander Sokurov

His Website: Сокуров/Русский– Sokurov/English

Extraits d’une interview sur Hors-Champs:

(English Translation – as I find time)

Il n’y a rien dans un paysage, même pas de beauté. Elle existe dans nous… La nature vit sa vie, un homme vit sa vie. L’homme déifie la nature quand il peut en profiter… L’essentiel, c’est de trouver une position moyenne à l’intérieur de soi-même.
______
Il y a très peu de chances que sera un être spécialement éduqué ou honnête. Ce sont les gens qui ont des grands problèmes intérieurs et personnels qui aspirent au pouvoir.
Un homme heureux ne se trouve jamais au pouvoir.

Mais si une personne qui est malheureuse, qui est porteur du malheur se trouve au pouvoir et qui porte en soi des problèmes très profonds émotionels, psycho-physiques, intellectuels, esthétiques – alors c’est le malheur pour tout le monde. Les gens ne comprennent même plus où le malheur s’arrête, où il commence.
______
Le mal et l’agression existent dans beaucoup de gens. Il y a des peuples entiers et des groupes de millions de gens qui sont prêts à participer dans des conflits armés. Il faut tout d’abord penser à eux, des gens qui veulent du sang… Va, va faire la guerre contre les hommes d’une autre foi, par exemple. Des millions de gens veulent la guerre malheureusement.




http://youtu.be/Jl-FKX808G4

Joe Pollack, 81, dies today.


Joe Pollack, beloved writer/critic, has died today.
It is a sad day for St. Louis.

His last film review posted by his wife Ann, after his death this morning.
An earlier review of Food, Inc. – the movie.
Harper Barnes on Joe Pollack.

Le Mystère Picasso/The Mystery of Picasso (extr.)




HERE Entire Film Entier ICI

De Wiki:
Le Mystère Picasso est un film documentaire d’Henri-Georges Clouzot réalisé en 1955.
Le réalisateur a filmé Picasso en train de peindre sur des surfaces de verre. Les œuvres présentes dans le film ont été détruites, elles n’existent qu’à travers le film.

Réalisation : Henri-Georges Clouzot
Photo : Claude Renoir
Musique : Georges Auric
Montage : Henri Colpi
Couleurs et Noir et Blanc – Mono
Pays : France 1955
Durée : 78 minutes
Sortie : 1955

Henri-Georges Clouzot s’est contenté de filmer Picasso en train de peindre, avec des plans-séquence en caméra fixe.
En revanche, l’utilisation de la couleur est remarquable, car lorsque l’artiste dessine au crayon ou au fusain, le film est en noir et blanc ; mais quand il se met à peindre, les couleurs apparaissent.
L’idée d’une représentation en transparence par la peinture sur verre, n’a rien de révolutionnaire. La contemplation du work in progress n’était jamais qu’un épisode relativement court d’une composition didactique, multipliant les procédés d’approches et les points de vue. Or c’est de ce petit épisode que Clouzot tire tout son film. Il faut souligner cette audace. Le Mystère Picasso ne se borne pas à être un long métrage, là où l’on n’osait pas s’aventurer au-delà de 50 minutes, c’est l’unique développement de quelques-unes de ces minutes par élimination de tout élément biographique descriptif et didactique. Ainsi, Clouzot a rejeté l’atout que tout le monde aurait gardé : la variété. C’est qu’à ses yeux seule la création constituait l’élément spectaculaire authentique, c’est-à-dire cinématographique.
La rencontre entre Clouzot et Picasso est de trente ans antérieure au film. Dès le milieu des années 1920, Clouzot, provincial âgé de dix-huit ans, s’installe à Paris et suit son oncle dans les cénacles artistiques. Il ébauche alors une amitié avec le peintre, déjà admiré et courtisé.
Le projet d’une collaboration est évoqué pour la première fois en 1952, alors que les deux hommes sont désormais voisins, Picasso vivant à Vallauris et Clouzot, auréolé du succès du Salaire de la peur, à Saint-Paul. « C’est une bonne idée, il faudra en reparler » sont les mots du peintre quand Clouzot expose l’idée de faire « un film ensemble ».
Le projet ne sera relancé que trois ans plus tard, au moment où Clouzot s’affirme dans la pratique de la peinture. Il a présenté ses toiles à Braque, puis à Picasso, qui se montre assez critique mais très attentif. Des mésententes subsistent quant au bien fondé de cette collaboration, notamment quand Picasso propose à Clouzot de lui écrire un scénario. Il se fait alors éconduire par le cinéaste qui lui explique qu’il est préférable que chacun reste à sa place et que c’est la rencontre entre les deux hommes qui l’intéresse, pas la substitution de leurs talents respectifs.
Puis, au printemps 1955, Picasso appelle Clouzot pour lui parler de stylos feutres fabriqués aux États-Unis et qu’il vient de recevoir. Ces stylos ont la particularité d’avoir une encre capable de transpercer tout un bloc de pages, et a fortiori une toile. Le déclic s’opère, le procédé est trouvé : filmer la toile à l’envers et ainsi « assister à l’œuvre de création ». Au départ, les deux hommes, qui louent à leur frais le studio de la Victorine à Nice, entendent réaliser un court métrage de 10 minutes. Évidemment, l’ampleur du projet demandera beaucoup plus de temps et de métrages…
Le tournage se déroule pendant les mois de juillet, août et septembre 1955.
Le silence est de rigueur sur le plateau. Picasso travaille… Surtout ne pas distraire sa concentration… ainsi il en oublie presque la caméra… Il est tout entier dans son œuvre… Clouzot l’observe…
Paradoxalement, ce sera justement l’objection que des mauvais esprits tenteront de lui faire : « Au fond, qu’a fait d’autre Clouzot à part dire moteur et coupez ».
Mais Clouzot témoigne ici d’une parfaite culture picturale. On sait qu’il peint à ses heures et qu’il s’intéresse de près aux choses de la peinture. En définitive, Le Mystère Picasso est bien un film de Clouzot, il y a démontré tout le mécanisme créateur d’un artiste, il a conduit Picasso jusqu’à un degré extrême de tension et de fatigue.
Sur toute la Côte d’Azur s’était répandu le mot que Clouzot réalisait un film sur Picasso et la curiosité a amené sur le plateau et aux projections de grandes personnalités telles que Prévert, Cocteau ou l’acteur-réalisateur Louis Daquin…
From Wiki:
The Mystery of Picasso is a 1956 French documentary film about the painter Pablo Picasso, directed by Henri-Georges Clouzot. It shows Picasso in the act of creating paintings for the camera. Most of the paintings were subsequently destroyed so that they would only exist on film, though some may have survived.
The film begins with Picasso creating simple marker drawings in black and white, gradually progressing to full scale collages and oil paintings.
It won the Special Jury Prize at the 1956 Cannes Film Festival and was shown out of competition at the 1982 Festival.
This famous art movie wasn’t the first documentary showing Picasso painting images on glass plates from the viewpoint of the camera. The Belgian documentary film Visit to Picasso (1949) did it almost seven years earlier.